En règle générale les gens pensent que Parkinson est une maladie dont souffrent uniquement les gens âgés, alors qu’en vérité à peu près 10 % des malades ont moins de 40 ans. Le 16ième congrès mondial sur la maladie de Parkinson qui s’est déroulé a Berlin cette semaine a réuni presque 3000 experts de 53 pays. L’un des sujets centraux a été la question de savoir de quelle manière des soutiens psychologiques peuvent être efficacement apportés aux malades. Car une fois le diagnostic établi, leur calvaire ne fait que commencer. Les malades doivent d’abord apprendre à accepter leur sort et à vivre avec une maladie chronique s’aggravant progressivement. Les experts ont délibéré également sur les possibilités permettant davantage de diagnostiques faits aux premiers stades de la maladie puisque cela permettrait de ralentir la déchéance physique des malades. Parmi les possibles indices comptent une fatigue chronique, un état d’abattement profond, des douleurs dorsales et des disfonctionnements de l’odorat.
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